Derrière Gafy… ca débloc…
Issoire sur le circuit des boulevards.
Voici un petit résumer de ce que j’ai vécu. Une fois partie je me planque au fond du peloton pour monter doucement en température et évidemment sur ce parcours plat et sans relance on se sent
bien dans les roulettes… mais pour vraiment jude de sa forme il faut aller devant. C’est donc de que je fait au bout d’une quinzaine de km, je pose une petite banderille pour recoller un
groupe de 12 ou 13 unités… déjà, là j’ai mi quelques hectometres pour m’en remettre avant de passer le relais. A 14 coureurs et 10″ d’avances il faut pas réfléchir et les relais
s’enchaine, mais dans la douleur car je n’ai plus assez de force dans mes petites cuisses. Ca m’apprendra à courir 45 km dans la semaine entre 2 courses.
Bon on se fait reprendre et je me replanque dans les roulettes. Puis de nouveau des cassures se dessine et je me decides à sortir pour ne pas rester pieger… en fait j’étais déjà piégé. Et c’est
là que commence pour moi la vrai douleur du « derrière gafy »… car manque de pot pour mes cannes… je me retrouve en chasse patate avec Gael Mainard (alias Gafy) et 1 ou 2 autres
coureurs… et comme je ne suis pas du genre à me dégongler je passe des relais… laborieux mais je passe et p….. que c’est dure de tenir quand on te lache un relais à 47 km/h vent de face…
bref on revient sur un groupe d’une quinzaine, mais il y en a encore 10 devant.
Le groupe de 15 me permet de soufler un peu… quoi que c’est pas le souffle qui me manque mais la force d’écraser ces pédales. Je tente bien de prendre quelques relais et de suivre les attaques,
mais j’ai plus grand chose dans les guiboles.
Finalement je me retrouve encore une fois en chasse patates et deviné avec qui cette fois ci…. PREDATOR…. il est de retour… si si et il m’a fait bobo en jambes en plus… pas comme
Gafy…. mais vu l’état de fatigue avancé c’était tout comme.
Vous l’aurez compris je termine tant bien que mal dans le peloton qui nous reprendra à 2 tours de l’arrivée….alors que je devais pédaler pour la 20ème place.
Je me moque un peu du résultat, mais je suis content de m’être remuer comme ça. Ca faisait longtemps d’ailleurs.
On a fait une pointe à 59 km/h sur ces boulevards… et un 45 de moyenne pendant un peu moins de 2 heures.
Voici un petit résumer de ce que j’ai vécu. Une fois partie je me planque au fond du peloton pour monter doucement en température et évidemment sur ce parcours plat et sans relance on se sent
bien dans les roulettes… mais pour vraiment jude de sa forme il faut aller devant. C’est donc de que je fait au bout d’une quinzaine de km, je pose une petite banderille pour recoller un
groupe de 12 ou 13 unités… déjà, là j’ai mi quelques hectometres pour m’en remettre avant de passer le relais. A 14 coureurs et 10″ d’avances il faut pas réfléchir et les relais
s’enchaine, mais dans la douleur car je n’ai plus assez de force dans mes petites cuisses. Ca m’apprendra à courir 45 km dans la semaine entre 2 courses.
Bon on se fait reprendre et je me replanque dans les roulettes. Puis de nouveau des cassures se dessine et je me decides à sortir pour ne pas rester pieger… en fait j’étais déjà piégé. Et c’est
là que commence pour moi la vrai douleur du « derrière gafy »… car manque de pot pour mes cannes… je me retrouve en chasse patate avec Gael Mainard (alias Gafy) et 1 ou 2 autres
coureurs… et comme je ne suis pas du genre à me dégongler je passe des relais… laborieux mais je passe et p….. que c’est dure de tenir quand on te lache un relais à 47 km/h vent de face…
bref on revient sur un groupe d’une quinzaine, mais il y en a encore 10 devant.
Le groupe de 15 me permet de soufler un peu… quoi que c’est pas le souffle qui me manque mais la force d’écraser ces pédales. Je tente bien de prendre quelques relais et de suivre les attaques,
mais j’ai plus grand chose dans les guiboles.
Finalement je me retrouve encore une fois en chasse patates et deviné avec qui cette fois ci…. PREDATOR…. il est de retour… si si et il m’a fait bobo en jambes en plus… pas comme
Gafy…. mais vu l’état de fatigue avancé c’était tout comme.
Vous l’aurez compris je termine tant bien que mal dans le peloton qui nous reprendra à 2 tours de l’arrivée….alors que je devais pédaler pour la 20ème place.
Je me moque un peu du résultat, mais je suis content de m’être remuer comme ça. Ca faisait longtemps d’ailleurs.
On a fait une pointe à 59 km/h sur ces boulevards… et un 45 de moyenne pendant un peu moins de 2 heures.
Dimanche prochain je m’aligne sur le 25 km des Volcans : une belle course avec un peu de dénivelé, mais rien de terrible, c’est plus une épreuve proche des courses sur route que du trail.
J’espère pouvoir jouer le podium et peut être plus s’il n’y a pas des gros moteur intouchable… on vera bien.