Un autre kilomètre de galère
d’ailleurs. Une mononucléose m’avait mi en vrac dès le mois de février et j’ai mi 6 mois a m’en remettre vraiment.
Lors de cette 3ème et dernière étape je termine bon dernier à plus de 30′ sur 70 km…. et l’arrivée était jugé en haut d’une cote de 5 km avec des p….. de raidars pour finir en zig zag et dans
le brouillard pour corsé le tout.
Pendant les 60 km que j’ai fait seul pour rejoindre l’arrivée j’ai cogité un moment, je ne voulais pas admettre que cette mononucléose soit encore active. Dans la vie de tous les jours je me
sentais parfaitement bien .
J’avais mal aux jambes, elles étaient dure et gonflé. J’avais l’impression de ne pas pouvoir récupérer musculairement de tous les efforts que je faisais. Et faire 3 jours de courses de suite
avait été mortel… et j’étais vraiment scotché au bitume !!!!
Mentalement quand on termine la course dans cet état on est vraiment dans le trou… surtout que la saison précédente avait été super bonne… les gars de la région se demandaient ce qui
m’arrivait. Voilà, maintenant vous le savez !!!!! J’ETAIS CUIT, COUCHE PAR UN PETIT VIRUS QUI TOUCHE 80 % de la populations, mais qui est bien supporté par la pluparts d’entre nous. RRRRRRRRR ca
fait rager. Cette année là j’étais méconnaissable sur le plan sportif… et des mauvais kilo y en avait des tas.