QUI SUIS JE

Quentin, simple curieux, autodidacte, je me suis passionné pour ce sujet en en fin d’année 2012 suite à la sortie du documentaire la Révélation des Pyramides. J’étais déjà intéressé par ce type de thématique et même à 37 ans j’étais encore un grand fan de la série dessin animés « Les Cités d’Or ». Ceux de ma génération doivent connaitre. Cette série évoquait l’existence d’une antique civilisation qui aurait disparue, mais laissant derrière elle 7 cités d’or. Cette saga était une fiction inspiré d’une légende, mêlant histoire des conquistadors espagnols et des peuples d’Amérique du Sud, gardiens des secrets de leur peuple. Le documentaire de Patrice Pooyard aura été le déclic pour me faire basculer vers une recherche active des antiques connaissances oubliées.

J’ai en quelques années dévorer des dizaines de livres, vu des dizaines de documentaires et conférences sur tout ce qui touche l’histoire des civilisations anciennes. Et j’ai bien sur découvert des auteurs qui ne sont pas reconnus par les scientifiques autorisés, mais qui sont tellement plus convainquant. J’ai pu aussi voyager et commencer à explorer ces lieux insolites dont l’origine se perd dans la nuit des temps.

Sur le plan professionnel, je dispose d’un Bac Science et Technique de l’Ingénieur option génie mécanique,… je sais, ça fait ronflant, mais c’est vraiment le nom du Bac que j’ai passé. Puis j’ai suivi une formation de professeur en Science et Technique des Activités Physiques et Sportives. Et enfin, et c’est le plus important, je n’ai cessé de me former en lisant et en complétant mes lectures par de la réflexion et la rédaction d’article de synthèse dans toutes sortes de sujet. Bref, je ne suis en rien un historien, un archéologue, mais cela importe peu au final, il suffit de lire les rapports des historiens et archéologues, pour ensuite tenter de compléter leur travail. Non pas que ces derniers soient mauvais, mais ils se donnent des cadres de pensée moins large, qui sont aussi les conditions nécessaires de l’obtention des diplômes et de la recherche historique universitaire méthodique. Bref, je trouve qu’il manque un peu d’audace dans leur travail. Et puis, si vous demandez à un historien ou un archéologue de faire un peu de géométrie, d’astronomie, de science physique… ce n’est pas un réflexe pour eux de faire appel à ces sciences là, ce n’est pas quelque chose qu’on leur demande beaucoup durant leur formation, et pourtant, cela est nécessaire.  La trop grande spécialisation écarte je pense bien des historiens de découvertes authentiques. Il ne suffira peut être pas de gratter le sol et d’éplucher des archives pour découvrir ce qui se cache depuis la nuit des temps.

Je ne suis donc pas un hyper spécialiste d’un sujet, je suis un touche à tout, intuitif et rationnel même si cela est contradictoire.

Je n’ai pas grande chose à vendre, je partage volontiers mes recherches avec ceux que cela intéressent, à condition que ces derniers ne se mettent pas à monnayer mon travail. Si je produis des livres sur ces sujets, l’objectif ne sera pas d’en tirer un revenu.

 

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