Sortie du Velo2maxg n°16

Avec pas mal de retard, mais le voici le n°16, mais la petite nouveauté, c’est que ce dernier à été relue par Elodie Leplat, traductrice Anglais / Français de nombreux romain et livre que vous pouvez trouver sur le net.

Et oui, je déteste les formalités orthographiques, d’autant plus que notre œil ne voit pas nos propres fautes. Naturellement notre cerveaux replacera les lettres dans le bon ordre. C’est ce qiu expilque que vous povuez lire facliement cetet phraes truféf de ftaues. De nombreuses fautes échappent à notre regard… et quand en plus on n’est faché avec la grammaire et que le temps vous manque… cela donne des textes bourrés de fautes.

Dans ce numéro :

Vous connaissez tous le fructose, il fut dans les années 90 une star des régimes et de la diététique sportive et de la santé. Les livres de diététiques, les fabricants de produits diététiques ont vanté ses propriétés remarquables. Le fructose présentant l’avantage de ne pas stimuler l’insuline, il nous fut présenté comme un bon moyen de contrôler la prise de poids, mais aussi la glycémie dans le cas des sports d’endurance. Toutefois, depuis le début des années 2000 des études scientifiques permettent d’affiner des recommandations qui furent souvent précipités et trop raccourcies.

Les hormones sont des messagers qui ordonnent par exemple à nos tissus de synthétiser différent tissus, cellules…. L’EPO ordonne à la moelle osseuse de fabriquer des globules rouges, la testostérone et l’hormone de croissance ordonnent (entre autres) à nos muscles de synthétiser des protéines supplémentaires pour booster la force des fibres musculaires, l’insuline ordonne au foie de mettre le glucose en réserve….

Ainsi, les hormones peuvent conditionner l’amélioration de vos performances sportives ou le maintien de votre niveau de condition physique après 40 ans. Mais il est aussi vrai que les efforts physiques conditionnent la synthèse hormonale. Le processus fonctionne dans les deux sens. Dans ce sujet nous proposons de montrer comment certaines gammes d’efforts sont plus ou moins propices à l’activation de certaines hormones. Il s’agit d’un aspect intéressant notamment pour le sportif master ou vétéran qui doit faire face à une baisse naturelle de son activité hormonale après 35 ans.

Depuis 2012 courre la rumeur dans les pelotons cyclistes que le jus de betterave permet d’augmenter l’hématocrite et la synthèse de globules rouges dans le sang. Une rumeur renforcée par plusieurs articles dans la presse sportive, avec notamment des déclarations dans la presse anglaise qui justifie les exploits des Anglais au Jeux Olympique par le jus de betterave.

LA THEORIE : Le jus de betterave contient des nitrates, et ce sont ces derniers qui sont utilisés pour expliquer l’effet ergogénique. On attribue aux nitrates un effet hypo tenseur. Cet effet pourrait être utile chez les personnes présentant de l’hypertension, mais chez le sportif la mise sous tension du réseau de distribution sanguine est nécessaire. A l’effort votre tension passe facilement de 12/7 à plus de 20/10. Ce mécanisme de mise sous pression est nécessaire pour faire circuler le sang dans les tissus musculaires. 

A commander sur le site bibliothèque :

http://www.endurance-sport-performance.com/livre-et-magazine-10/velo2magazine-16-83.html

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