L’étape du Tour ou les Français s’envolent

Et bin, on peut dire que les journalistes ont du s’enflammer cet après midi avec ce festival Français de Chavanel, Pineau et des autres comme Dumoulin, Voekler, Gauthier, Le Mével…..

 

C’est vrai qu’on pourrait croire que finalement les Français vont peser sur le classement général… mais si on analyse ca avec un peu de recul, il était prévisible de ne pas voir de grande
offensive de la part des prétendant à la victoire final. On a d’ailleurs pas vu un seul des favoris prendre le moindre courant d’air. Tous se sont observés éconnomisés en attendant l’étape de
demain ou il y aura sans doute une grosse empoignade, et là on devrait voir les grosses cylindrés en action et des Français encore à l’accroche, mais qui ne pourront certainement pas faire jeu
égal en terme de kilowatt.

 

Pour les favoris, les cols n’était pas assez dure pour espérer faire des écart significatif sans faire une grosse débauche d’énergie. Demain, il sera plus rentable de faire parler les watt… sur
les pentes de Morzine Avoriaz…. Attention, sortons les chrono, il va y avoir des watt a mesurer.

 

Quant à la montée de cet apm elle est délicate à évaluer car pas très raide et avec une porition plate à la fin et pas mal de vent plutot favorable à en croire les journalistes sur les motos.
Mais a priorit la montée de Chavanel est inférieur au 400 watt sur 35 minutes, je dirais entre 360 et 390 watt… ce qui est assez vague finalement… mais déjà très elevé en terme de puissance
sur une dernière ascension et surtout par une chaleur très accablante.

 

La puissance mesuré de Chris Sorensen de l’équipe saxo bank est de 373 watt (terminé dans le peloton des leader) sur ce dernier col pendant
32′, ce qui semblent coincider avec mon estimation pour Sylvain Chavanel qui étant seul à du tenir plus de 380 watt voir 390 watt pendant la montée finale.

 

La surprise c’est de voir que le peloton a vraiment été réduit à pas grand chose malgré un rythme qui est loin d’être maximale. La chaleur doit peser pour beaucoup dans la difficulté de pas mal
d’organisme à fonctionner dans ces conditions. Et cela d’autant plus que l’air était très humide, ce qui rend le refroidissement plus compliqué car la transpiration s’évapore mal.

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