Me voici partie en Italie, une première destination à la recherche du passé Antique, d’un passé jamais écrit dans les livres, mais pourtant bien réel. De quelle façon est construit le Colisée, quelle est la taille de ces pierres, sont elles aussi imposantes que celle des grandes pyramides ? Pourquoi l’axe est ouest du Vatican formé par l’Obélisque et la Basilique St Pierre est ils sensiblement décalé vers le sud de presque de 2° ? Quelle est la véritable direction de cet axe qu’on nous présente comme celui du soleil Est Ouest ? J’ai mon idée, mais je veux le vérifier sur place. Le Vatican et sa Basilique furent construit en pleine période de la renaissance italienne, les archives secrètes du Vatican furent créé à la même période.
ETAPE 1 Le Colisée
Officiellement construit en 8 ans par 50 000 esclaves sous la conduite des maîtres architectes Romains. Mais en réalité, certaines tranches des travaux comme les sous sol furent construit après, et la préparation du terrain avaient commencé bien avant. Les guides ont tendance à passer ce détails qui fait que la construction s’est finalement étalée sur au moins 30 ans. Ce doit être un peu comme a Marseille, on exagère un peu pour épater le touriste. D’ailleurs un des visiteurs à poser la question au guide…. mais vous êtes sur que c’est 8 ans ? Ceci dit, même 8 ans pour la seule structure en amphithéâtre avec les gradins, c’est une prouesse qu’on a peine à croire. La place dans l’enceinte et autour ne permet pas de faire travailler plus 10 000 personnes sans se marcher dessus.
Le Colisée de forme ovale (et non ronde) mesure 188 x 155 et 49 m de hauteur. Il est composé de 2 types de matériaux. Des blocs de Calcaire ou de Tuffeau (plus léger sur les hauteurs). Ces blocs sont massifs, environ 1m3, soit 1,2 à 3 tonnes quand même. Ils sont assemblé sans ciment, juste posé et ajusté à plat avec de la graisse pour les faire glisser plus facilement. Les blocs sont aussi fixé par des agrafes en métal pour les stabiliser. (technique d’assemblage avec des agrafes présente en Grèce, Perou, Egypte, Cambodge, France à Carnac) Le second matériaux est constitué de briques et de mortier. Plus on monte et plus il y a de briques et mortier. Mais il y a des blocs de tuffeau dont la densité varie entre 1.3 et 1.6 et qui sont hissés à 49 m de hauteur ! Les blocs les plus haut sont plus petit et plus léger, et pèse au maximum 2 tonnes, les blocs de calcaire plus lourds sont disposés au pied et sur 1er étage et peuvent atteindre 4 tonnes. Pour comparaison les blocs de calcaire de la grande Pyramide pèsent 2 à 4 tonnes et les blocs de granit 20 à 70 tonnes et sont élevé à près de 60 m. Les blocs de Balkeks au Liban atteigne 1200 tonnes, ceux du mur des Lamentations 800 tonnes. (un poids lourd charger à bloc pèse : 44 tonnes)
Les traces des agrafes en métal qui étaient scellé pour maintenir les blocs en position. Probablement en bronze.
Vue des 2 types de matériaux, le tuffeau blanc et les briques avec du mortier. L’ensemble était recouvert de plaque de marbre et ou d’enduit très fin pour immiter le marbre. Les plaques ont été arrachés et utilisés pour les basiliques de Rome.
Encoche dans le marbre pour fixer sur les colonnes des poutres probablement en bronze. On trouve encore des morceaux de bronze incrustés dans les petite encoches.
8 ans pour construire le Colisée peut nous laisser perplexe comparé à la durée d’un chantier moderne comme le stade de France (3 ans avec 15 grues, des camions, des machines électriques et à moteur thermique 5000 personnes sur le chantier et beaucoup d’autres dans la conception des matériaux en amont). S’ils l’ont fait en 8 ans cela reste une prouesse… mais à quel prix humain, combien de sacrifiés, privés de leur liberté ???
La construction de la basilique St Pierre commencé autour de 1502 aura durée 110 ans et il faut ajouter 60 ans pour la décoration. Les moyens techniques de l’époque sont à peu près les même que ceux des Romains. L’incertitude demeure au niveau des ressources humaines.
Enfin, et ceci n’est pas anodin, le parlement Européen de Strasbourg est une représentation moderne du Colisée. Cette volonté de donner au parlement Européen le symbole de la Rome Impérialiste, conquérante, esclavagiste, adepte de la barbarie du pain et des jeux pour contenir le peuple, n’est pas du tout anodin à mon sens. Le parlement Européen est une sorte d’autorité supérieure à la nation dans laquelle la démocratie n’a pas de place. Les députés n’ont pas la possibilité de rédiger des lois, ce sont des commissaires européens défendant des lobbys privés qui rédigent les lois et directives qui s’appliquent dans tous les pays membres de l’UE. L’Union Européenne organise l’impuissance des peuples, organise leur mise en concurrence, leur endettements abstrait, les plans de rigueurs etc….. Ce rapprochement peut semblé ubuesque, mais c’est sous estimés l’arrogance, le mépris, et l’idéologie des puissants de ce monde que de voir là un simple hasard. Au somment de la Maison Blanche trône la déesse grecque des Enfers, Perséphone… quel drôle de choix ?
Etape 2 La Basilique St Pierre et le début d’une énigme
Construites en 110 ans + 60 ans de décoration. A cette même périodes, 3 Papes qui se sont succédé et ont fait érigé une douzaine d’obélisques dans les rues de Rome, pourquoi des Obélisques, venant de la part des papes, cela surprend, on se serait plutôt attendue à trouver des croix ? Quels mystères sont enfouies dans ses archives et dans la construction énigmatique du Vatican ? A défaut d’y avoir accès, je pense que la géométrie et les positions des obélisques pourra me renseigner sur cette « obélisque-mania » de la renaissance.
Les obélisques sont pointés sur cette vue de google earth. J’ai relié 4 d’entre eux qui semblent représenter 4 étoiles de la constellation du Lion. Il en manque 3 pour faire la tête. Ceci n’est qu’une hypothèse de réflexion bien entendu !
N’est ce pas les contours de la constellation du Lion qui se dessine à partir des 4 premiers obélisques érigées, et dont celui du Vatican serait l’étoile Régulus, qu’on appel aussi le « cœur du Lion », l’étoile la plus brillante de cette constellation, celle là même qu’on retrouve représentée sur le sphinx en Egypte ? Je ne pense pas, car ce début de constellation est à l’envers, et il manque la tête du Lion (voir photos ci dessous). A moins qu’il s’agisse d’une représentation en miroir ? En revanche l’hypothèse d’une carte du ciel reproduite au sol et dont les obélisques représentent les étoiles n’est pas impossible, c’est une piste à creuser. Et autre petites coïncidences amusante, l’obélisque de la place est posé sur 4 lions. (Voir photos ci dessous) On trouve d’ailleurs des Lion à coté de plus grand Obélisque de Rome, et une étoile au sommet de chaque obélisque.
LA CLEF DU VATICAN
La clef, il s’agit du blason du Vatican. Deux clefs sont présentent partout sur les décorations du Vatican, elles sont sensées représenter la clefs du temps et la clefs spirituelle. Mais ce qu’on ne nous dit pas, c’est que vue du ciel, la cité du Vatican à représenté une clef en utilisant la place du Vatican, la rue de la Conciliation, et le Château entouré de rempart à la forme originale. Quant à la serrure elle est aussi visible, puisque la place et son prolongement ouest nous donne une très jolie serrure.
En revanche, en ce qui concerne les dimensions de la Basilique, les différentes sources données sur place et dans les brochures sont de 219 ou 220 pour sa longueur et 135 ou 136 pour sa hauteur : 220 / 136 = environ 1.618 (nombre d’or). En fait la relation est quasi parfaite pour 219.4 m / 135.6 m. Mais quid du nombre PIE ? Et bien là ou c’est très fort, c’est que la longueur extérieur de la basilique moins sa longueur intérieur nous amène peut être sur 31.4(159) soit PIE. Les mesures de terrain sont impossible à faire sur place, car je n’ai pas accès à certain endroit. Par contre, les bâtisseurs de cathédrales ont souvent verrouillés leur proportions par des équations qui repose sur PIE et PHIE. Les plans sur papier n’existent pas, il sont inscrits dans des équations mathématiques qui empreinte des constantes comme 3.1416 et 1.618. Et seul les initiés avaient accès à ce genre d’information.
L = 219.4 / 1.618 = H = 135.6
L de 219.4 moins L intérieur de 188 m = 31.4
Que peut donc ouvrir cette clef et cette serrure. « hum hum élémentaire mon cher Watson ». La clef est déjà en position, il suffit de la suivre. De manière purement physique l’axe de la clef nous mène tout droit sur l’Île de Pâque. Et vous allez voir que la notion de 299 792 est présente ailleurs, et cette fois ci, ce n’est probablement plus un simple hasard.
Continuons donc notre amusante enquête professeur Jones !
Je pose la question suivante, si les pyramides de Gizeh et un grand nombre de sites antiques et ou mégalithiques ont été placé sur la terre à des endroits précis, qu’en est t’il des monuments plus récents ? Comme le Vatican par exemple ?
(tient c’est bizarre un obélisque, c’est y pas un clin d’œil aux bâtisseurs d’Égypte, et ou, aux poseurs de mégalithes).
J’ai constaté que le Vatican vue du ciel est disposé sur un axe est ouest…. du moins c’est ce que l’on dit… mais en réalité l’axe est ouest n’est pas parfait, il dévie de 1.97 °, ce qui nous donne par rapport à l’axe nord sud un angle de 270-1.97 = 268.03 °
Or, si nous prolongeons cet angle qui passe par le capitole et l’obélisque nous allons atteindre le centre de l’ILE DE PAQUES, exactement à l’endroit ou se trouve le centre de notre triangle formé par les 3 volcans façonnées et dons les distances sont celles qui rappellent la coudée, le pied, l’empan, la palme et la paume. Ces unités sont celles des bâtisseurs de cathédrales, mais aussi celles des bâtisseurs des pyramides, et on passe de l’une à l’autre en multipliant ou divisant par le nombre d’or. Notre triangle formé par les 3 volcans est constitué de droite de 20 km, 12.36 km, d’une hauteur de 7.64 km pour formé un totale de 52.36 km (périmètre, hauteur + appendice vers sommet de l’Ile)
Amusant n’est ce pas…. je doute fort qu’il s’agisse d’un hasard, la précision est de l’ordre du centième de degrés. Mais j’ai aussi constatés d’autres petites choses fort étonnante et amusante.
L’angle de cette ligne Vatican – Ile de Pâques forme avec l’axe nord sud un angle de 268.03 °. Si je rajoute un 1 devant le 8, j’obtiens 2618.03, soit 1000 fois le nombre d’or au carré ! Et qu’est ce qui peut symboliser le chiffre 1 mieux qu’un OBÉLISQUE érigé au point de départ de cette angle ? Ajoutons, que certaines sources donnent une hauteur de 25.36 m pour cet obélisque : 25.36….. un clin d’oeil à 52.36 cm qui est la coudée égyptienne. (Il n’est pas possible hélas de vérifier la hauteur de l’Obélisque sur place).
Élémentaire mon cher Watson dirait Sherlock Homs ! Et Dan Brown n’a qu’a bien se tenir, les faits semblent aussi extraordinaire que le Da Vinci Code.
Mais je n’ai pas terminé ma petite enquête, et elle m’a amené à une autre découverte d’un fait étonnant, vraiment étonnant. J’ai récemment découvert les travaux de Carl Munck, un ancien officier américain spécialisé dans la cryptographie, donc dans le déchiffrage des codes. Et il a produit il y a une quinzaine d’année un document vidéo amateur dans lequel il explique le code qu’il pense avoir découvert à propos de tous les plus grands site de l’antiquité (pyramides d’Egypte, du Mexique mais aussi Stonehenge). Le principe est simple : il pense que les monuments à travers leur forme (angle, face, forme) permettent de retrouver les latitudes et longitudes auxquelles ils se trouvent, un peu comme des balises géographiques codées. Ces travaux sont peu connus, souvent critiqués en raison des infimes erreurs de latitudes obtenues. Plutôt que de faire preuve de scepticisme chronique étudions sa théorie, il est possible que les bâtiments expriment un code comme il l’évoque, et d’ailleurs de nombreux auteurs et archéologues ont découvert que les sites mégalithiques sont disposés de manières à créer un maillage géographique équivalent à nos méridiens et parallèles. (voir les recherches d’Alan Butler, Alexander Thom et Sylvain Tristan par exemple)
Le principe de Carl Munck est le suivant, si vous prenez Stonehenge par exemple, on trouverai à l’origine 60 pierres sur le cercle centrale et 360 sur le second cercle extérieure :
60 X 360 = 21600
Maintenant, prenons la latitude de Stonehenge : 51°10’42.35″
21 600 / 51 / 10 = 42.3529411
Ou exprimer ainsi 51° x 10 minutes et 42.3529411 secondes = 21600.
Dans la pratique cela ne marche pas tout fait car la latitude du centre de Stonehenge est de 51°43 et des poussières. Mais il faut admettre que le bord du second cercle extérieures est tangent à cette latitude. Carl à produit des dizaine d’exemple de ce genre sur des pyramide au Mexique, en Egypte, sur les dessin de Nasca…. et à chaque fois la marge d’erreur est si faible quelle rentrerait parfaitement dans les tolérances d’erreur de la science. Bien entendu, si vous chercher le 100 % de précision, vous n’y arriverez pas, mais si vous accepter un écart de 0.05 % comme les canons de la sciences le pratique, alors un nouvel axe de compréhension s’ouvre à nous.
Essayons de tester cette idée assez originale.
La latitude du centre du capitole nous est donnée via google earth et maps pour 41°54′ 7.820467849
41 x 54 x 7.820467849 = 17314.51581766
Ce chiffre ne vous dit rien du tout…. moi non plus… mais heureusement j’ai un petit tableau ou j’ai rassemblé quelques constantes de l’univers comme PI, PHIE et la vitesse de la lumière. J’ai exprimé ces constantes de diverses façon, au carré, à la racine, dans diverses unités (mètres, coudées….)
Maintenant : mettons 17314.51581766 au carré = 299 792 458
Et oui, le capitole du Vatican se trouve à une latitude qui code la racine carrée de la vitesse de la lumière exprimée en mètre par seconde !
C’est un fait et même ignoré, un fait reste un fait vérifiable…. mais ô combien dérangeant car la basilique St Pierre du Vatican fut construite entre 1506 et 1626 en pleine période de renaissance. A cette époque, ni le mètre, ni la seconde et encore moins la vitesse de lumière n’étaient sensés être connue. Et pourtant, les fait sont là, têtus.
Faite le test avec google maps, accessible à tous par internet.
Vérification avec google earth pro
Au fait que voit t’on de l’intérieure de la basilique sous son sommet ? L’arrivée de la lumière du ciel pardi ! Le sommet du Vatican est le principale point de lumière.
N’est ce pas l’église et toutes les religions qui comme son pire ennemie la Franc Maçonnerie se prétendent détenir les clefs de la parfaite lumière ! Une allégorie fort amusante mon cher Watson. Qu’en pensez vous professeur Jones ?
Remarque :
L’ obelisque égyptien qui se trouve au centre de la place, ce monolythe de granite rouge haut de 25.36 mètres pèse entre 100 et 150 tonnes selon mes estimation. (2.8 densité du granit rose, base environ 1m80)
Initialement taillé au 1er siècle avant Jésus Christ à Héliopolis, pour le préfet romain en Egypte Caïus Cornelius Gallus, il sera transporté d’ Héliopolis à Rome en 37 sur l’ordre de Caligula qui le fera dresser au centre du cirque de Néron au pied de la colline du Vatican.
Cet obélisque ne porte aucune inscription hiéroglyphique. Caligula le dédia ‘’ au divin César Auguste ‘’. En 1586, le pape Sixte Quint ( pape de 1585 à 1590 ) fit déplacer l’obélisque devant la basilique St-Pierre. L’entreprise qui dura une année entière nécessita plus de 900 hommes et 150 chevaux.
Ci dessous une gravure qui illustre le redressement de l’Obélisque. Un travail titanesque pour relever un obélisque plus de 100 tonnes, en une année…. là ou en Égypte on trouve des statues de 1800 tonnes, des pierres de 80 tonnes élevées à 70 mètres de hauteur…
Bonus hypothèse 1 :
La distance du Vatican jusqu’au centre de l’Ile de Pâques, est de 572 602 305 pouces 572 614 934 pouces selon que l’on choisit comme point de départ le sommet de la basilique St Pierre ou l’Obélisque. Or, si nous exprimons la vitesse de la lumière en coudée par seconde nous obtenons une valeur très proche de 572 561 419 Cd/sec. Un écart modeste de 0.007% environ. Cet écart pourrait venir de l’unité du POUCE qui est arrondit à 2.54 cm. Hors, il est très probable que la véritable unité du POUCE soit sensiblement différente. Le pouce est certainement une unité qui est relié à un autre étalon et une constante universelle…. mais je n’ai pas encore trouvé
Il doit exister une relation mathématique permettant d’encoder la valeur exacte du POUCE à partir d’un cercle de diamètre 1 mètre et de périmètre PIE. Nous avons trouvée plusieurs approximation, mais ces dernière reste des hypothèses
PIE diviser par 2 fois l’inverse du nombre d’or = 2.5411 = 3.14159 / (0,61803 + 0.61803), ou la paume 7.64 / 3 = 2.546, ou encore 314159265 / 123456789 = 2.544… bref on n’en sait rien en fait !
Bonus Hypothèse 2 :
Durant tous le séjour à Rome je me suis demandé pourquoi lors de la période de construction du Vatican, les 3 papes qui se sont succédé ont mi tant d’énergie à faire déplacer une douzaine d’Obélisque pour les répartir dans la ville ? Des Papes qui s’intéressent aux Obélisque, cela me surprend, pourquoi n’ont il pas mi des croix à la place. On voit partout des croix chrétiennes sauf au Vatican et à Rome ou il y en a très peu, mais non, ce sont des obélisques que voulaient les Papes. Je me suis demandé, est ce pour reproduire une constellation d’étoile au sol ? Est ce pour dessiner un symbole ? Mais en regardant de plus près l’Ile de Paque je me suis aperçue que les volcans de l’Ile semblaient disposer de façon très proche de celle des Obélisque de Rome. S’agit t’il d’un indice supplémentaire qui raccroche l’île de Pâques avec le Vatican ? Même le Colisée trouve sa place dans se schéma d’ensemble. Seule les proportions ne sont pas très bonnes. Mais si une carte de l’île de Pâque était entre les mains du Vatican il se peut que sa précision soit approximative.
Dernier mystère, celui de la géométrie sacrée.
Pour Howald Crowhust, le spécialiste Franco gallois des mégalithes et de la géométrie sacrée des anciens, on entend par géométrie sacrée, ce qui renvoie à une harmonie, une beauté géométrique qui nous touchera le plus. Rome comme bien d’autres villes de part le monde utilise dans son architectures des éléments décoratifs élevés au rang de sacré. La géométrie dont je parle est celle représentée par 2 colonnes et un toit. Chose banale me direz vous, mais pas vraiment, vous aller le voir. D’abord observons la géométrie sacrée que vous avez tous déjà vue.
L’entrée de nombreuses églises, temples, ou décoration à l’intérieur des églises, ou encore autour des fenètres extérieures reprennent ce type de forme, avec ce type de triangle.
D’où vient cette géométrie ? Un chercheur indépendant à donné en 2012 une réponse, il s’agit de Georges Vermard, un amateur passionné qui à consacré du temps à l’étude de Égypte. Ce dernier à découvert dans les gravures et fresques des Égyptiens, mais aussi dans les grandes pyramides, l’étonnant lien entre cette architecture et la constellation d’Orion. La preuve en image.
Les 4 étoiles cadres de la constellation d’Orion lorsqu’elles sont copiées symétriquement nous donne cette fameuse géométrie sacrée avec les 2 colonnes et le petit toit. Nos ancêtres ont observés le ciel et s’en sont inspirés dans leur vie. Orion est la constellation la plus facile à trouver dans le ciel, et aussi la plus visible. Mais ce n’est pas tout, la constellation d’Orion est distante de la terre de 5236 années lumières (coudée = 52.36 cm), ce qui n’est absolument pas un hasard, il s’agit probablement d’un point de départ de cette volonté de concevoir une unité de longueur et de mesure du temps en harmonie avec la nature, une harmonie entre la terre et le ciel, un regard sur notre environnement qui faisait partie de la tradition oubliée.
Cette géométrie sacrée qui rend les choses plus belle est présente dans les Rues de Rome pour des bâtiments récent, mais aussi à Pompéi il y a 2000 ans.
Ruine de Pompei
Banque d’Italie
Observer la même décoration au dessus des fenêtres. 2000 ans plus tard cette même géométrie est toujours là.
Enchaînons avec Pompéi qui sera notre dernière étape.
Mon voyage se poursuivra plus au Sud à Pompei :
A quoi ressemblait les rues de Pompéi, quel était le savoir faire des bâtisseurs de l’époque, que peuvent ils encore nous apprendre que nous aurions oubliés ? Je n’en ai pas la moindre idée, bien que j’ai déjà foulée le sol de ces rues lorsque j’avais 13 ans. Je n’avais pas la curiosité et le regard d’aujourd’hui.
Les rues de Pompéi, c’est un voyage dans le temps. On y découvre le monde d’avant, et nous sommes impressionné par la finition de certaines maison, la décoration et l’art des bâtisseurs. Pompéi était une ville alimenté en eaux par des réseaux de plusieurs dizaines de kilomètre. Le réseau était équipés de filtre pour l’eau avec plusieurs bassin de filtrage, et même des bassin pour faire chuter la pression de la colonne d’eau, car entre le sommet et le bas de la ville il y 30 mètres de dénivelé, et cela peut faire exploser les canalisation en plombs que les Romains avaient construites. Des fontaines sont présentes dans toutes les grandes rues.
En terme de technique, on notera que les bâtisseurs de la villes de Pompéi maîtriser l’art du factice. En effet, la plupart des colonnes et grosses poutre de pierre sont recouverte d’une fine couche d’enduit qui donne l’impression que nous avons à faire a d’authentique pierre de calcaire taillé et ajusté. En réalité, la plupart des colonnes sont faites de briques puis recouvertes d’enduit. De nombreux murs sont aussi recouvert de cet enduit qui donne l’impression que nous avons de belle pierre lissé et taillé avec précision.
La surprise du jour :
Alors que la visite se termine, un dernier élément a attirer notre attention. Un cromlech au cœur de Pompéi. Un cercle de pierre un peu comme les mégalithes de Stonehenge…. mais en beaucoup plus petit. Que vient faire ici ce petit cromlech, en plein cœur de la ville dans une petite enceinte contenant plusieurs hôtel. Nous ne savons pas les Romains adeptes de ce genre d’architectures dont l’origine est bien antérieure. Ce qui est frappant, c’est que les pierres sont très abîmés et grossièrement décorés avec des cailloux incrustés. Bref, rien a voir avec les faïences très fines des maisons des alentours. L’état des pierres est aussi très mauvais, elles semblent bien plus abîmées que les pierres environnantes. Bref, ces pierres ressemblent à une anomalie dans ce décors.
Prenant mon petit laser, je fait quelques mesures, et je constate que les 12 pierres sont espacés d’environ 2.62 et que le diamètre de notre cercle à l’extérieur des pierres est de 10 mètres (plus ou moins 3 cm compte tenu de l’état des pierres). Le périmètre est donc logiquement de 31.4 m. Là encore je m’étonne de trouver un cercle dont le diamètre vaut 10 mètre, un périmètre de 31.4 m (PIE), et un écart entre chaque pierre de 2.60 à 2.64 m (PHIE au carré)
J’ai aussi vérifier l’axe nord sud et Est Ouest, mais il est décalé de 3° par rapport au nord véritable.
Et enfin, dernière petite choses amusante, la latitude du centre du cercle est : 40°45’0.20″N. En 40°45’0.20″N la technique de Carl Munck à l’envers : 40 * 45 * 0.2 = 360…. 360 ° d’un cercle ?
Alors, bien sur les Romains n’était pas capable de telles prouesses de géolocalisation, mais ce lieu devait être sacré et connus depuis une époque lointaine. Et la présence de ce Cromlech dans un temple nous rappel l’importance attribuée à ce lieu et nous renvoie aux bâtisseurs de mégalithes.
Je trouve que cela fait beaucoup de hasard, vous ne trouvez pas ? Nos ancêtres qui n’étaient pas des manches ont certainement pensé à construire des étalons comme le firent les ingénieurs Français de retour d’Égypte pour créer les marbres étalons de 1 mètre qu’ils ont ensuite exposés dans la ville de Paris.
Voilà, ce premier voyage se termine sur cette petite constatation. Nous avons remonté le temps jusqu’au début de l’antiquité et il reste bien des choses à aller voir en Grèce, à Malte, en Égypte, en Bretagne, en Ireland, en Angleterre, pour finir au Pérou et sur l’Ile de Pâques et peut être d’autres destinations pour tenter de démêler ce fil conducteur qui dépasse de l’histoire officielles des hommes et de la science.
