Résumé du Triathlon du Lac des sapins.

Avec une semaine de retard voici un compte rendu soft.

 

Par 15° dans l’eau et entre 5 et 9 dans l’air le tri sapin ne fut pas une grande réussite. Mais c’est plus la météo et des problèmes mécanique qui m’ont empétrés.

 

Round 1 natation 1500 m au lieu de 3000 à cause du froid… bin, malgré la distance réduite pas 2 j’ai nagé comme d’habitude comme une enclume. Que ce soit sur 100 m ou 3 km je
nage de toute façon à la même vitesse et j’ai du me prendre au moins 10′ dans la partie natation alors que je n’en avais pris que 13 l’année dernière sur 3 km. J’ai du nagé en 28′ au mieux et ma
transition fut assez laborieuse (froid, les doigt engourdis).

 

Round 2 le vélo 100 km. Je part avec mon tableau de marche de l’année dernière qui en 2h55 m’avait ammener au 2ème temps vélo et à la 9 place en entrant dans le parc à vélo… un
petit exploit.

Le suis relativement bien, malgré le froid, un peu tendu dans les desentes que je réalise moins vite, et j’ai malgré tout 2′ de retard à mi parcours, ce qui me semble correct au vue du vent ce
matin.

Le 2ème tour, je dois me bagarer avec des coureurs qui se mettent dans ma roue et qu m’occasionne un cartons noir car lorsque l’arbitre arrive, il arrivent que certains coueurs repasse devant….
et du coup c’est moi qui passe pour le suceur de roue…. vue le maigre niveau de compétence cycliste et la bedaine proéminente de l’arbitre je ne lui en tient pas rigueur, il s’est juste fait
plaisir avec son sifflet.

Après m’être débarassé de ce petit groupe qui me collait aux basques dans la principale bosse, j’amorce une descente et je me sent comme sur une caisse de savon… boh, c’est le froid, je suis
tendu dans les courbe… 10 km plus loin, « purée…. je suis planté ou quoi…. j’ai beau relancer… rien…. je regarde ma roue arrière…. rrrrrh je suis à plat…. je tente une réparation ce
qui avec les mains un peu transies par le froid n’est pas facile… pas de pot, le boyau est beaucoup trop entaillé… je rentre donc au plus court avec 1 bar de pression… j’ai même coupé car
je craignais de me retrouver à 0 bar et de rouler sur la jante. Finalement j’ai pu faire 14 km quittant le circuit sans perdre mon pression bar… ce qui m’a fait regretter de ne pas avoir tenté
de terminer en vélo pour faire la course à pied.

 

Round 3  : y en a pas, je range le vélo, je me met au chaud car ces 14 km au ralentie en petite tenue m’ont frogorifié.

 

Morale : j’ai voulu tester les boyaux en course et c’est la première fois que je crève en situation de course, je trouve cela trop galère, et je choisit de prendre des pneus pour les prochaines
expériences de ce genre. Je garderais mes belles roues pour d’autres occasion (CLM, critérium…)

 

Watt :

Bien que je puisse estimé mon temps à 3 heures (2h55 en 2009) au vue de mon tableau de marche, j’ai comparé les puissances par rapport à l’année précédente. Ce qui est amusant, c’est que j’ai
fait les 78 km du parcours (1km/h moins vite), mais en produisant 10 watt de plus. Le vent et, la température impliquant une plus grande débauche d’effort.

Pour le vent, tous le monde peut le comprendre… quant il y a du vent…. le vélo c’est dure… mais le role de la température compte aussi, car plus l’air est froid et plus la résistance de
l’air augmente, et par 5 ° cela n’est pas négligeable par rapport au 20° de l’année d’avant.

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