Tour du Bassin Minier 2010 Etape 1

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Revenons un peu
plus en détail sur cette étape de 110 km qui comptait en gros 80 km de plaine et 30 km de circuit valloné dans le finale.

Les valeurs de puissances sont intéressantes, j’ai découpé la course en 3
phases :

Phase 1 : 40 km dans les roues car l’équipe avait opté pour préserver ses 2 coureurs les plus succeptibles de jouer l’étape. Je devais donc rester au chaud et compter sur mon
équipe pour prendre les échappées pour voir, a moi de me débrouiller ensuite si cela tournait au vinaigre.

Phase 2 : 40 km ou l’équipe et moi même avons roulé avec le renfort d’autres équipes pour limiter l’écart et avoir encore des chances de revenir à la fin.

Phase 3 : 30 km le circuit final avec ces 7 cotes ou la course s’est emballée.

 

Voici donc les puissance de chacune de ces phases :

PHASE 1 : 225 watt de moyenne brute, 275 de moyenne pédalante et 257 de puissance normalisé.

PHASE 2 :261 watt de moyenen brute, 280 watt de moyenne pédalante et 280 de puissance normalisé

PHASE 3 : 270 watt de moyenne de brute, 311 watt de moyenne pédalante et 331 watt de moyenne normalisé.

 

Ce qui correspond pour moi à une course ou j’ai d’abord fait de l’intensité 2, puis limite 2 et 3 et enfin intensité 4 lors de la bagarre finale.

Ce qui intéressant, c’est que pour que je sois capable de produire des efforts violent en fin de course, il faut que je roule en intensité 2 (200 à 260 watt), si je fait 2 heures en intensité 3
(260 à 320) je suis incapable ensuite de faire la course à la fin. La différence n’est pas énorme entre ces intensité et on ne souffre pas vraiment en roulant à 280 290 watt, mais lorsqu’il
s’agit de vraiment envoyé du watt, il est clair que rester au chaud compte beaucoup. Frédéric Grappe insiste énormément sur cet aspect de la performance en cyclisme. « Développer de la puissance
ne fait pas tous, il faut trouver des solutions pour en économmiser le plus possible sans perdre le contact avec la tête de course »

 

Comme vous pouvez le voir, lorsque les 3 ou 4 équipes roulaient la puissance développé était ridicule (260 watt  = 36 km/h seul sur terrain plat main en bas du guidon) et on ne
pouvait pas revenir comme cela,
c’était évident, je sentais bien que les relais étaient mous et que la plupart des coureurs avaient baissés les bras. Je suis certains que 2 ou 3 équipes
qui décident de revenir avec beacoup de convictions aurait pu le faire, par contre cela revenaient à consummer une dizaine de coureurs qui auraient terminer sur la petite galette pour ralier
l’arrivée.

Je pense qu’il est normal que cela n’est pas pu se faire, car sur une course en 2 et 3 les équipes ne sont pas articulé comme en division nationale, chacun défandant d’abord ses propres chances,
ce qui ne me choque pas du tout. Mais il n’enpêche que vivre le vélo au travers une équipe c’est aussi quelques choses d’extraordinaire. J’adore vivre dans une équipe ou les coureurs sont prêt à
consummer leur chance pour les copains. L’ascenceur revient souvent. La course de vélo prend une autre dimension lorsqu’on courre en équipe. J’ai decouvert cela en 1999 avec le VCCA et jusqu’en
2003 je me suis éclaté sur des courses ou tous le monde contribuait à la petite ou grande réussite.

 

 


RESUMER DE LA COURSE DU VCCA : A oublier…. tacticquement on avait donnée quelques consignes qui n’ont pas fonctionnés….l’équipe à connue des changements de dernières minutes
et les forces en présence n’était pas celle prévue. Nous avons donc raté la grosse et bonne échappée de 18…. alors que nous avions mandaté 3 coureurs pour suivre ce genre de coup…Finalement
on a  du roulé avec 3 autres équipes qui ont vite baissés les bras….et sur la fin du parcours si mes jambes de feu me permettent de prendre le groupe de contre tout en ayant rouler, je
vais faire une gaffe monumentale… j’ai oublié un tour…. j’ai fait le km, mais  pas le km 109, le km 103…!!!!!! quel c…… dépité et
blasé j’ai terminé en roulette dans le peloton…. quel c…..ste honte.… pour un vétéran comme moi

 

Ce n’est pas grave, les jeunes ont du coup pris une bonne leçon et on ont du rouler en tête de peloton, chose qui ne leur était encore jamais arrivée…

Du coup je ne sais pas qui gagne et déjà on repense à demain matin avec le CLM et la course difficile l’apm….

Bonne nuit les coureurs et prévoyer les gants demain matin… 6 °

 

euh…. oui je termine 82 ème à 2’07 » du vainqueur… au lieu de 1’44 » dans le petit groupe de contre qui arrive pour la 16ème place je crois.  Ah si j’avais réviser mes cours de math
élémentaire

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