En vrac… quelques réfléxions personnelles

– La performance sportive n’a pas de valeur autres que celles des  « canons » d’excellence définit par l’homme. Courir le 100 m en 10″ n’est rien à coté d’une gazelle , d’un guépart, d’un loup ou d’une autruche qui accomplie cela en moins de 7″.

– Pour le singe, manger  une banane avec ses pieds est plus artistique que de maitriser n’importe quel geste sportif. Aussi j’admire facilement les galipettes de nos cousins les singes?

– Au Tibet, ont admiré les gens qui ont abandonnées toutes idées de gloire et de reconnaissance sociale. Partout dans le monde la gloire, la réussite personnelle et la reconnaissance sont recherchés par les hommes. J’aimerais attendre cet état de conscience ou la performance n’a plus de valeur sociale. Pour cela il faudrait que j’arrête de lire les résultats des courses que je fais, ou de noter mes meilleures performances dans mon carnet d’entrainement !!!! Bref, je considère que depuis 1991 que je fait des compétition je n’ai toujours pas atteint cet état de
satisfaction que d’autres civilisation appelait jadis « la Voie », ou la « sérénité »

– On peut toujours trouver une bonne raison pour ne pas se bouger !

– La compétition : on doit le faire sérieusement et à fond tant qu’on est jeune, car à 40 ans il sera trop tard pour aller chercher ses limites… c’est ce que je me dit car je ne veux pas avoir de regret et ressasser à qui veut l’entendre que si j’était jeunes je pourrais être bon….. chose que j’entend souvent…. on n’a qu’une seule vie, alors le but n’est pas forcément d’en profiter, mais de la terminer sans regret. Ca c’est de moi !!!! si si je vous assure !!

Extrait d’un poème de mon papa probablement inspiré par mon petit garçon.

Il te faudra être muet
Pour ne jamais vomir l’injure
La langue, clouée au palais
Pour n’être pas un jour parjure
On te prédit l’homme si noir
Que toi, bien sûr, tu n’y peux croire
Mon p’tit fils, tu te marres…

Toi, tu babilles quelques mots
Comme de joyeux ricochets
Qui vont rebondissant sur l’eau
Croisant les ondes par maints crochets
Petit bonhomme, tu es l’espoir
Et moi, bien sûr, je veux y croire
Mon p’tit fils, je me marre…

……

Joël LEPLAT (tous droits réservés)

Pour lire la suite c’est sur www.chanterkaraoke.fr et c’est mon papa qui fait des poèmes. Il y a de tout et je retrouve dans ces textes l’éducation que j’ai reçu et dont je suis fier.

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